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Les mystères de la foi – Netflix

Ah les preuves dans la foi catholique ! Ces reliques ! Si controversées par les protestants !

Je suis catholique pratiquante, mais personnellement, j’ai beaucoup de mal avec la notion de relique et pour 2 raisons :

  • La plupart des reliques aujourd’hui ne sont pas du tout celles du saint associé. Les guerres, les incendies et la Révolution française ont clairement détruit les vraies reliques… sous réserve qu’elles aient existé.
  • Je ne suis pas Saint-Thomas ! Je n’ai pas besoin de toucher un morceau d’os, de tissu ou autre pour croire que nous pouvons tous marcher dans les pas du Christ vers la sainteté.

Après, j’entends que certains aient besoin de s’accrocher à des morceaux de quelque chose pour croire, mais est-ce que c’est vraiment ça avoir la foi ? 

Je dis toujours, « je m’engueule avec mon père (Dieu), je pleure dans les bras de ma mère, je me confie à mon frère (Jésus) et c’est l’Esprit Saint qui me fout un coup de pied au cul pour me faire avancer. Je pense qu’il est plus facile, pour moi, de croire dans des divinités et ici la Sainte Trinité que de croire dans des bouts d’être vivant qui ne sont peut-être pas les bonnes personnes.

J’ai des icônes, mais en vrai, je les regarde parce qu’elles sont jolies, mais de manière très très rare pour prier, car je n’en ai pas besoin ! Je n’ai pas de coin prière chez moi. Au plus, je vais allumer une bougie, par contre, j’ai besoin de la Bible parce qu’elle est la Parole vivante de Dieu. Et rien d’autre !

Néanmoins, revenons sur ces 4 épisodes sur Netflix. C’est un joli documentaire qui nous présente plusieurs reliques dans plusieurs endroits différents et la foi que cela peut générer auprès des populations souvent pauvres. J’ai trouvé que ce documentaire était un beau témoignage malgré ma non-croyance envers les reliques.

Les 4 sujets :

  • La couronne d’épines
  • Le Saint Graal
  • La Sainte Croix au Brésil
  • Les saints d’à côté

Je vous invite donc à voir ces 4 épisodes de 40 min, en famille de préférence, d’en parler après. Préconiser en aumônerie ! (donc dès la 6ᵉ)

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