Pourquoi j’ai adopté le NotePin Plaud
Je suis de celles qui ont toujours une idée à la minute, une pensée qui fuse pendant que l’autre est à peine digérée, un bout de parole en création ou un air à retenir pour plus tard. Entre ma casquette de chef de projet informatique, ma passion pour le bien-être, mes engagements spirituels et mon cerveau multi-onglets 24/7, il y avait un vrai défi : ne pas me perdre dans le flot.
Ajoute à ça un TDAH bien installé, une dyslexie fidèle au poste et une hypersensibilité qui fait parfois trembler la prise de notes comme un tremblement de terre intérieur… et tu obtiens un quotidien où capter l’info, la traiter et la restituer demande un niveau de concentration olympique. Autant te dire qu’un simple carnet ne suffisait plus.
C’est là que NotePin est arrivé dans ma vie. Ce petit galet tech aussi mignon que discret m’a tapé dans l’œil. Un enregistreur vocal boosté à l’intelligence artificielle, capable non seulement de tout capter, mais aussi de transcrire et même de résumer les échanges ? Avoue, on dirait presque un super-pouvoir.
Au début, j’étais curieuse. Maintenant, je suis accro. C’est devenu mon allié quotidien, autant pour mes réunions pro que mes réflexions perso, mes séances bien-être ou mes instants d’inspiration divine sur un banc en forêt.
Et je te le dis franchement : ce n’est pas juste un gadget. C’est une extension de mon cerveau.
Comment fonctionne le NotePin ?
Le NotePin, ce n’est pas juste mignon. C’est minimaliste et terriblement bien pensé. À première vue, on dirait un petit galet lisse, élégant, discret. Il tient dans la main, se clipse sur un col ou une pochette, et il ne fait pas « gadget » pour deux sous. C’est le genre d’outil qu’on adopte vite, parce qu’il sait se faire oublier… tout en étant toujours là quand il faut.
Enregistrement facile, zéro stress
Un seul bouton suffit à tout lancer. Tu appuies, ça enregistre. Tu rappuies, ça s’arrête. Pas besoin de sortir ton téléphone, de naviguer dans une appli ou de prier pour que ton dictaphone veuille bien démarrer. Et ça, pour un cerveau TDAH comme le mien, c’est déjà une victoire.
Le micro est de bonne qualité : il capte bien les voix, même en réunion avec plusieurs intervenants ou dans un environnement un peu vivant. Et surtout, le NotePin synchronise automatiquement tes enregistrements avec son appli mobile.
L’appli : ton second cerveau dans la poche
Une fois l’enregistrement terminé, l’appli se charge du reste. Elle transcrit l’audio en texte avec une efficacité bluffante. Les dialogues sont bien différenciés, le style est naturel, et la ponctuation est globalement bien gérée.
Mais le vrai kiff, c’est la fonction résumé automatique. En quelques secondes, tu obtiens une version condensée de ce qui a été dit — pratique pour récupérer les grandes idées sans devoir tout relire. Et tu peux même générer un compte-rendu structuré si tu veux aller plus loin.
Bonus : personnalisations et options sympas
Tu peux taguer tes enregistrements, les classer, ajouter des mots-clés, et même les exporter (en texte brut, Word, ou PDF). C’est top pour bosser en mode hybride avec d’autres outils comme Notion, Word ou même ChatGPT pour retravailler certains contenus.
Et côté sécurité : tout est stocké de façon sécurisée, et tu peux supprimer les enregistrements audio après usage — ce que je fais systématiquement après transcription validée.
Les super-pouvoirs du NotePin pour les cerveaux atypiques
Tu l’as compris, le NotePin, ce n’est pas qu’un gadget. Pour les profils comme les nôtres — TDAH, dyslexie, troubles cognitifs légers, surcharge mentale, ou même juste surcharge de vie — c’est un véritable outil de compensation. Et ça change tout.
Pour les TDAH : capter l’info pendant que le cerveau file déjà ailleurs
Tu connais le scénario : t’es en réunion, le collègue parle, tu prends une note, tu lèves la tête… et bam, t’as perdu la moitié de la phrase suivante. Avec le NotePin, tu ne stresses plus à l’idée de ne pas avoir tout capté : tu peux te concentrer sur la compréhension globale, sur les échanges humains, et tu sais que tu pourras revenir dessus plus tard.
Pour les dyslexiques : transformer la parole en texte structuré
La prise de notes peut vite devenir un calvaire quand la lecture ou l’écriture sont laborieuses. Le NotePin fait la traduction orale → écrit sans effort. Tu parles, il écoute. Il écrit, tu relis. Et tu peux ensuite corriger, reformuler, t’approprier le texte à ton rythme.
Pour tous les profils “cerveaux qui fument”
Même sans trouble reconnu, le NotePin est un allié précieux pour toutes les personnes qui ont tendance à :
- penser vite (et à zapper ce qu’elles viennent de dire),
- s’auto-couper en parlant,
- avoir des idées qui surgissent n’importe où.
Grâce à lui, tu ne perds plus une miette. Tes idées sont enregistrées à chaud, sans que tu aies à les interrompre pour les noter.
“J’enregistre, donc je suis”… oui, mais en toute légalité
L’enregistrement, c’est top… mais pas n’importe comment.
Ce que dit la loi
L’article 226-1 du Code pénal stipule :
Mais depuis l’arrêt de la Cour de cassation du 25 novembre 2020, un enregistrement peut être admis comme preuve dans certaines situations, notamment en cas de litige professionnel ou pour justifier un besoin légitime. Bref, ce n’est pas interdit d’enregistrer si :Il est interdit d’enregistrer des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel sans le consentement de leur auteur.
- tu es toi-même partie à la conversation,
- tu préviens les personnes concernées,
- l’usage est personnel et respectueux de la vie privée.
En classe, à l’école, à l’université
Quand on a un trouble reconnu, la loi autorise l’utilisation d’outils de compensation (PAP, PPS, etc.).
Tu peux :- envoyer un courrier à l’établissement avec justificatif,
- demander qu’un message neutre soit annoncé par le prof en début de cours.
Exemple de message à transmettre à l’enseignant :
À partir d’aujourd’hui, certains cours pourront être enregistrés afin de permettre à des élèves en situation de handicap de disposer d’un support de prise de notes adapté. Ces enregistrements sont confidentiels, non diffusés, et les fichiers seront supprimés après usage.
En entreprise
Ici, la transparence est la clé : toujours prévenir à l’oral ou à l’écrit. Par exemple :Je vous informe que j’enregistre cette réunion uniquement pour faciliter ma prise de notes, dans le cadre de mes besoins liés à un trouble de l’attention reconnu. L’enregistrement ne sera ni diffusé ni conservé après la rédaction du compte-rendu.
Modèle de message à personnaliser
Objet : Demande d’autorisation d’enregistrement ponctuel
Bonjour [Nom],
Dans le cadre de notre prochaine réunion prévue le [date], je vous informe que j’utiliserai mon NotePin pour enregistrer nos échanges, afin de m’aider à mieux restituer les informations dans un cadre professionnel.
Cet enregistrement est à usage strictement personnel. Il ne sera pas diffusé ni conservé, et sera supprimé une fois le compte-rendu validé.
Ce besoin s’inscrit dans une démarche de compensation liée à un trouble de l’attention/dyslexie reconnu(e). Je reste bien entendu à votre disposition pour toute précision.
Cordialement,
[Ton nom]
Ce que NotePin a changé pour moi… et pourquoi je le recommande
Depuis que j’utilise le NotePin, j’ai retrouvé une fluidité mentale que je croyais perdue. Je parle, il capte. Je réfléchis, il suit. Je ralentis, il m’aide à structurer.
Je ne cours plus après mes idées. Je ne redemande plus trois fois les infos de réunion. Je ne redoute plus les prises de notes en situation tendue ou quand ma tête est ailleurs (parce qu’elle est souvent ailleurs, faut assumer à un moment).
À qui je le recommande ?
- TDAH, dyslexiques, multipotentiels
- Étudiants, salariés, indépendants
- Praticiens, enseignants, consultants
- Et tous ceux qui ont un cerveau plus rapide que leur stylo
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